BALLADE SUR LES SOUVENIRS
Que reste-t-il quand le temps dénature Le doux reflet du délicat trésor Qu’on ouvre avec telle désinvolture Que l’écuyer au bois sonnant du cor Brise au galop le frêle bouton d’or ? Ou bien le suc, ce songe inavouable Bu fraîchement en nectar délectable...